Mois du Dindon du 7° cycle après Ragnarok

*TrôLLè entendit le tavernier ronchonner, avant de se rendormir *

Agô se réveilla difficilement ; il leva la tête vers TrôLLè qui dormait, alla lui chercher un goûter au miel qu'il déposa près du skrim et alla se recoucher sur le comptoir .

- zzZZZzzzZZZzzzZZZ...miumiumiu...Graonnn ... grouaonnnn....zzzzZZZzzzzz ...!!!

Agô arriva ce matin-là le sourire aux lèvres ... Il ricanait tout seul dans le noir en entrant dans le bar...
Il avait trouvé un véritable filon ... mais chut !! personne ne devait apprendre qu'il était tombé sur une case avec un centaines d'armes et d'armures, des potions et des parchos par dizaines et quelques minerais qui paraissaient cependant pas fabuleux : surtout du Kibrille taillé en faible quantité. Par contre niveau vêtements, c'était mieux que les soldes !

Une chose le dépitait : c'est qu'il aurait bien aimé avoir 10 ou 15 rivatans pour pouvoir tout transporter ... il lui faudrait faire un choix et rester dans le domaine du raisonnable... snif !

Néanmoins, c'est d'humeur guillerette, bien qu'encore un peu malade des M'ïkröb qu'il cracha ses miasmes sur le comptoir de calcite, qu'il fit briller d'un revers agile de l'avant-bras. Ensuite il alla sautillant ("Pom pom pom !) fixer les intestins de Lampapétroll, la peau de gogo de son ancien proprio sur les épaules ...

Le bar était ouvert !

Tant que personne n'avait repéré le filon trouvé par Agô, ce dernier en profitait...

- Bon : quelle potion vais-je trouver cette fois-ci ou bien ... un minerai ? allez, laisse-toi tenter par un piti parcho !!! Euh ...

Cela tenait à la fois du supermarché et du paquet bonux ... mais les trolls ne connaissaient ni l'un ni l'autre... donc c'était juste une tanière qui avait volé en éclat, on ne sait pour quelle raison et Agô s'en moquait de toute façon !

Il continua son petit marché et se la joua Prëtiwoumàne (Trollette réputée pour l'entretien méticuleux de sa laideur) un moment, puis, voyant l'heure qui avançait à grand pas, se rendit toujours en chantonnant à son établissement. Il fit joyeusement l'ouverture du bar et attendit ses premiers clients.

- Mazette, enfin !!!...

Agô avait pu enfin se débarrasser du Kobold malade qui le taquinait depuis deux jours. Et quelques péhix de plus dans la musette. Mais il fallait maintenant songer à bouger ... "Ah oui ! Les bottes pour Ärff ! " songea le tenancier sur le chemin du retour vers son établissement.

- Bon, je fais l'ouverture, puis je m'éclipse un moment pour aller les lui chercher, ça lui fera une bonne surprise ."

Agô ouvrit tranquillement la porte de son bar, fit le brin de ménage qui manquait pour que son bouge paraisse propre, alla accrocher les intestins de Lampapétroll et laissant à Ärff qui ne devait plus tarder à venir, le soin d'allumer les torches, s'éclipsa, bien camouflé, pour retourner sur les lieux de l'ancienne tanière désintégrée...

Fiouuuuu !!!

Agô avait encore le coeur qui battait à plus de 200 lorsqu'il pénétra dans son bar : il avait échappé de peu à un TRES gros probleme...:em44:

Le tenancier revivait la scène : il était tranquillement en train de se curer l'ongle du gros orteil dans une caverne, lorsqu'un gros troll, pas net vu son CV, s'est mis en tête - ça Agô en était sur - de s'offrir le patron de bar comme apéritif. A trente secondes près, Agô avait réussi à échapper à ses deux grosses canines de Kastar...

Comparons :





Fiou !!! il l'a eu dans l'os !!! le méchannnnnnnnnnnt !!!:em28:

Il était d'autant plus sûr qu'à la base c'est pas à la strige qu'il en voulait, parce que la strige, eh ben, elle est arrivée alors que le vilain violent était déjà dans la place ...

- Fiouuuuuuuuuu !!!!!! Allons, un calvok cul-sec !!! ça ira mieux... Quand je serai plus grand, je lui ferai la même frayeur, à ce vilain pas beau ! :em13:

Et Agô, ayant descendu d'un trait sa coupe, s'en resservit un autre , puis, réchauffé au sens propre comme au sens figuré par la décidément bonne qualité de ce qu'il vendait toute la journée, alla crachoter sur le calcite du bar, le fit briller d'un revers de l'avant-bras. Enfin, il alla fixer les intestins de Lampapétroll dehors.

Ärff entra dans le bar les poils en batailles ....
Après un moment d'absence elle se remit au travail, fit un brin de ménage et alluma les torches.Elle se rapprocha du comptoir et prit place sur le tabouret en peau de Gnu.

Elle attendait l'arrivée d'Agô pour qu'il fasse l'ouverture du bar...

Agô entra dans son bar et fut surpris de retrouver Ärff, vraiment bien matinale, ce qui n'était pas son habitude ...

En outre, les poils en bataille de la Skrimette le laissèrent perplexe, que faisait-elle de ses nuits ? songea le tenancier, qui n'entreprit pas, malgré tout, de la questionner.

- Tiens, déjà là ? Bonjour, Ärff ! Ca va ? On a du pain sur la planche, ce matin on nous livre 20 tonnals de Calvok et deux cents livres de viande de gnu rouge !

Agô avait peur pour sa serveuse, dont il connaissait l'impulsivité naturelle.

" Pourvu qu'elle ne se soit pas mis dans une situation euh... complexe !"

Enfin, bon, Agô chassa toute idée de jugement moral : la vie d'Ärff ne le regardait pas. Et il avait déjà sa propre petite existence de petit patron de petit boui boui et de petit MK à gérer...

Il aida la serveuse à ranger la salle, fit briller le Calcite du bar et alla accrocher les intestins de Lampapétroll sur le mur extérieur.

Agô arriva en discutant tout seul, en tout cas, c'est ce qu'il aurait semblé aux quelques PNJ qui attendaient assoiffés, l'ouverture du bar (à dire vrai, c'était le seul bar à la ronde à 50 cavernes alentours ...). Mais en fait, Agô ne conversait pas tout seul. Il n'était certes pas futefute, mais pas tout-à-fait maboule non plus... Il discutait avec sa toute nouvelle mouche !!!!! Il lui parlait du bar, des clients, de Lampapétroll, de ses intestins, des grandes batailles qu'il (n') avait (jamais) menées et des trolls très forts et très dangereux qu'il (n') avait (jamais) rencontrés et qu'il (n') avait (jamais) renvoyés au soleil. Des discussions de trolls, quoi.

Il entra dans le bar, et fit un brin de ménage, expliquant à sa mouche les appareils en os et la valeur des ce que contenait chaque tonnal de calvok. Ensuite, il demanda à sa mouche de bien vouloir l'excuser, mais il allait y avoir de l'humidité dans l'air : il crachat un long et épais filet de bave sur le comptoir et fit délicatement glisser son avant-bras sur le calcite. Tout en faisant ça, il s'imaginait que la mouche le regardait, admirative.

Le calcite brillait, le patron était content, la mouche s'en foutait totalement - seule la vague odeur de moisi des intestins de l'ancien proprio attirait quelque peu son regard. Agô les prit justement et les accrocha au mur extérieur. L'ouverture était faite.

Ärff arriva plus tôt ce soir. Elle n’avait rien de prévu donc elle décida d’embaucher plus tôt pour s’avancer dans son travail surtout qu’elle avait prit du retard. En arrivant, elle s’aperçut que les portes du bar étaient ouvertes. Elle entra et vit Agô, son patron, parler seul !

Mais à qui parle-t-il ?

Puis elle se rendit compte qu’il était en pleine discussion avec une mouche.

Je ne savais pas que les mouches savaient parler ??? :em8:

Elle le salua et alla allumer les torches. En se rapprochant du comptoir elle observait Agô, elle s’aperçut alors à ce moment que cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas retrouvée ici avec lui. Il faut dire que depuis quelque temps ses nuits étaient courtes. Elle s’avança vers lui.

Agô, je te dois des excuses. Je sais que je n’ai pas étais très présente ces derniers temps.
J’en suis désolée. Je suis touchée par ton inquiétude mais ne t’en fait pas, tout va bien.
Je suis en bonne compagnie. Crokmoignon veille sur moi et me protège.
Il est vrai que parfois je suis maladroite, ce qui me met dans des situations plus que périlleuses, entrainant du même coup mon compagnon. Mais, tu me connais, je m’en sorts toujours bien. Enfin, pour le moment...

Si je ne te parle pas de ma vie nocturne ,c’est pour ne pas te faire pousser de pouals blancs ! :em61:

Puis Ärff se remit au travail. Elle ne pouvait lui en dire plus. Elle tenait trop à son travail qui lui apportait une certaine stabilité elle qui n'avait pas de famille à l'exception de son parrain qui était de l'autre côté du Hall...

Agô s'était levé tard ce matin-là. Il enfila prestement sa couverture faite avec la peau du défunt Gilbër, le gowap de feu Lampapétroll et se rendit en courant vers son bar."Ouf !! personne". Il devait être en fait plus tôt que ce qu'il pensait.

Il entra et termina le ménage qu'il avait commencé la veille. Ensuite, il s'arrêta derrière son bar et se versa une grande coupe de calvok, pour faire la transition entre :"Agô-qui-a-froid,sa-couverture-sur-le-dos" et "Agô-qui-n'a-plus-froid-avec-rien-sur-le-dos-et-le-teint-un-peu-plus-rougeaud"

Réchauffé, souraint, l'haleine un peu plus chargée qu'à son habitude, le tenancier fit briller le calcite du comptoir, alla accrocher les intestins de Lampapétroll dehors, et revint se servir une autre coupe de ce fameux calvok dont les clients lui diraient - "contre si peu de GG ..." - de ses nouvelles.

Agô s'était levé tôt ce matin (une fois n'est pas coutume). Il songeait à son petit s'MiPoualu l'Frileu. Il ne l'avait pas vu depuis quelques jours, mais certains PNJ, qui l'avaient croisé, avait dit au tenancier que S'Mi avait "Euh... Comment dire ... changé... oh, non, non ! pas moralement... plutôt physiquement..." Il s'était, dit-on, équipé d'un masque curieux avec une grille devant la bouche et s'était peigné les pouals de la tête avec la raie au milieu... Il paraît que ça faisait son petit effet, sympa le masque et sympa le brushing !

- Mais comment il va faire pour manger, le petit ? avec une paille ? se demandait Agô.

Le tenancier attendait donc de voir ça. Pour l'heure, il chassa toutes ces pensées et se rendit à son bar, la peau de Gilbër, le défunt gowap de Lampapétroll sur les épaules car, comme tous le matins, tous les jours et toutes les nuits, le temps était couvert ici-bas dans les cavernes du Hall.

Il fit briller le calcite du bar et accrocha les intestins de Lampapétroll. Le bar était "öpèn"

Ärff arriva très tard ce soir... Elle passa la porte du bar, et pénétra dans la salle enfumée. De nombreux PNJ conversaient et s'échangeaient des parchemins.
Elle se dirigea vers le bar pour rejoindre son patron Agô qui depuis quelque temps, elle le sentait, ne la regardait plus de la même façon... il avait comme un air inquiet dans son regard.

Agô se leva tôt se matin-là, il était d'une humeur maussade... il venait de se faire poutrer par une tk et il avait mal au crâne.

Surtout ses mouvements étaient ralentis.

- Punaise, elle m'a fait mal cette folle : 35 pts dans ma gueule... comme un troupeau de gnus sauvages qui m'auraient piétinés la face.

En plus, son lieu de résurrection était à perpet' par rapport au bar, et il avait dû marcher pendant un temps... certain !

- Elle me le paiera !

Bon, allez c'est pas tout ça ! faut maintenant faire le ménage !

Agô fulminait - mais en même temps, il était rassuré de voir que toutes ses mouches étaient revenues !

Il fit un brin de ménage, autant que son dos tout vermoulu le lui permettait - " m'a vraiment amoché, cette c... !"

Alla lentement à l'extérieur - "aïe ... AÏE !!" accrocher les intestins de Lampapétroll et s'en fut de nouveau à l'intérieur se faire un bon calvok au miel bien chaud... " C'est bon pour les rhumatismes et les rhumatisants !"

Aujourd'hui, il ne ferait crédit ni aux trõlls freluquets ni aux trõlls baraqués !

Ärff était de plus en plus matinale, Elle arriva au bar, et y trouva Agô.

-ARRRRRRRGGGGGGGG! Mais qui t'as fait ça ????? Un nom, donne un nom !!!!!!!! Je vais lui faire payer !

Puis elle s'approcha de lui et pensa ses blessures !

-J'aime po quand on te touche !

Elle était inquiète pour son patron, et elle lui promit que si un jour elle croisait le chemin de cette folle furieuse, elle la pourchasserait jusqu'à ce que S'mi, Kouil, Vent, Agô la rejoigne pour lui faire sa fête à cette grosse brute!

:em42:


Puis Ärff se remit au travail.

:em29: :em29: :em29: :em29:

Agô leva un oeil au beurre noir vers la serveuse et dit :

"Ouille ! ça pique ! Dis, Ärff, tu pourrais pas retirer ton épée qui me pique le gras du bide ?"

Puis, il rajouta :

- Mmmmm ! ça fait du bien tous ces soins, quand même, et ça me redonne le moral. Allez, foin de toutes ces idées noires, je vais tourner la page et me renforcer, ensuite, un jour, je me vengerai. Pour l'instant, on a un établissement à faire tourner !! on va festoyer, ça m'aidera à guérir plus vite !!!"

Agô se leva un peu moins lentement que quelques heures plus tôt et alla sans trop gémir rejoindre son poste derrière le comptoir.

La maison refaisait crédit aux trolls, les barraqués, pas les freluquets. Ceux-là, sont pas crédibles, et un troll qui n'est pas crédible risque de ne jamais régler son ardoise.

Agô s'était réveillé en sursaut, ses lombaires le faisaient encore souffrir. Il ouvrit une paupière qui se décolla difficilement de la lèvre inférieure. L'autre paupière, en revanche, resta collée, malgré tous ses efforts :

- Gniii ... gnnnnnn !!!!!

Pas la peine d'insister, la paupière était collée à sa lèvre inférieure et tout ce qu'il réussissait à faire, c'est se boucher les narines en tentant d'ouvrir son œil récalcitrant.

C'est avec ce visage qu'il quitta ses rêves peuplés de mouches, de trollettes poualues sentant plus fort qu'un gnu sauvage - une délectation pour Agô ! - de monstres terribles et de trolls pas gentils. Bref, il avait fait des rêves qui ressemblaient fort au Hall, en vérité !

Il tituba jusqu'à son bar, eut du mal à en pousser la porte d'entrée. Fit le tour du comptoir et lustra le bar. En crachant, il se bava sur la paupière qui remonta d'un coup sec quoiqu'elle resta bloquée à mis course.

déjà qu'il était moche, il était encore plus laid, ce matin :

- Chouette !! je risque de plaire à vachement de trollettes !!!! pourvu qu'elle ne remonte pas plus !

Il finit de faire briller le bar, puis alla accrocher les intestins de Lampapétroll. Les premiers clients attendaient devant la porte.

Un grand :"Graououahhhhhh !!!!" salua l'ouverture du bar.

*TrôLLè se réveilla difficilement, voyant un monstre a portée de charge il attaqua, après une hypno d'un collègue, un magnifique effrit colossal en présence, il dégageait une forte odeur de viande grillé, ce que TrôLLè ne savait pas c'est que c'était la sienne qui allait griller plus tard, bref il charga :

16/02/2008 08:04:55 COMBAT TrôLLè (72669) a frappé (avec une compétence) un Effrit Colossal [Jeune] (1852143) grâce à un coup critique.

Alors pris dans son élan il lança sa botte secrète,

16/02/2008 08:05:09 COMBAT TrôLLè (72669) a frappé (avec une compétence) un Effrit Colossal [Jeune] (1852143) grâce à un coup critique.

le monstre accusait le coup mais résistait, il lui restait un tiers de sa puissance dans les tripailles, il fallu peu de temps pour qu'il se réveil, et un effrit qui se réveille ça pique, surtout pour TrôLLè avec sa bulle antimagie permanente :

Le monstre n°1852143 (un Effrit Colossal [Jeune]) a utilisé sa capacité spéciale : Aura de Feu
Elle a pour effet : PV : -25D3
Seuil de Résistance de la Cible.....: 10 %
Jet de Résistance...........................: 43

La Cible subit donc pleinement l'effet de la capacité spéciale.Résultat : 51 point(s).

BRef le monstre pris d'autres coups et s'enfuya juste apres avoir fait son aura, un dudu de chez nous réussi a le rattraper pour l'achever mais trop tard, on pouvait sentir aux alentours de fortes effluves de trolls grillés, qui attira quelques trolls et aussi quelques monstres.

D'ailleurs apres l'effrit, un barghest apparu, lui n'aura pas le temps d'user son pouvoir, TrôLLè après avoir lustré correctement son poil, voyant arrivé le barghest lui en mis un gros coup de b.. couteau dans le derche et l'embrocha pour faire un festin avec le reste de feu de l'effrit qui restait encore et brulait a petit feu dans la caverne !*

"Groumph !

Ma foi fort goutu le barghest, ça se mange tout seul !"

Agô avait fini de lire le message porté par une chauve-souris de TrôLLè.

- Mazette, il semble que ça embouteille au niveau des monstres balèzes dans son coin !! Pourvu qu'il pense à moi, pour le barghest : quelques restes pour la sauce du plat du jour de demain ou d'après-demain ...

Cependant un trõll étrange était entré dans la taverne , personne n'avait remarqué sa venue .

"B'°y°õûr lé pwõàlûs ! cõmmén kï võnt ? "

le patron surpris de la vennue de cet inconnu sorti un verre et versa le nectar a l'interieur .

Court sur pattes ce trõll n'avait qu'un seul bras , dumoins l'autre , était franchement atrofié. sous son turban ,le pauvre ne possedait qu'un seul oeuil .le deuxieme avait certainement dù être creuvé lors d'un combat a mort .
la puanteur de ces aisselles embaumait agreablement la taverne d'une odeure poivrée .

De son haleine chargée ,le trõll se presenta :

"J'màpéllé Gõlgõth! ét jé sûïs dé là Càcõphõnïà, j'àï crõïsé ûn' fõï l'pàtrõn ét ïm dïzàï k'ïçï l'kàlvõk, ïl étàït bõn ?
àlõrs j'vïént wõïr zï c'ést wràï ? "